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主演:
梅丽尔·斯特里普,罗伯特·雷德福,克劳斯·马利亚·布朗道尔,迈克尔·基臣,马利克·鲍恩斯,迈克尔·高夫,苏珊娜·汉密尔顿,瑞切尔·凯姆普森,格拉汉姆·克罗登,莱斯利·菲利普斯,谢恩·里默,多纳尔·麦卡恩,KennethMason,TristramJellinek,史蒂芬·B·格里姆斯,AnnabelMaule,BennyYoung,NivenBoyd,伊曼
上映:
1985
备注
HD
类型:
电影
剧情:
  凯伦(梅丽尔·斯特里普 Meryl Streep 饰)是一个爱慕虚荣的富家女,为了得到一个男爵夫人的称号她离开故土丹麦远嫁东非肯尼亚,然而男爵夫人的称号并没有给凯伦带来美满的婚姻生活。幸运的是在那片广袤的土地上,凯伦可以经常外出打猎、探险,她渐渐的爱上了这片神奇的土地。 在一次打猎遇险时,凯伦邂逅了年青的英国贵族邓尼斯(罗伯特·雷德福 Robert Redford 饰)。在遭遇婚姻的破裂和丈夫出走之后,凯伦独立承担起经营庄园的任务,在劳动的过程中,凯伦渐渐的与种植园里的仆人们产生了深厚友谊,而她与邓尼斯的关系似乎也有了进展。然尔命运之神并没有从此让凯伦一帆风顺,一次大火让她不得不出卖庄园从而缓解经济的拮据,后来邓尼斯驾机意外身亡又一次给了她沉重的打击。在经历了生命的磨炼之后,凯伦最终告别了那片她洒下青春和热情的土地……  该片在1986年的第58届奥斯卡上荣获了包括最佳影片、最佳导演、最佳改编剧本在内7项大奖。…

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蒂莫西·利瑞艾德·艾姆许维勒FranzFuenstler
  Walden (Diaries, Notes & Sketches) de Jonas Mekas États-Unis, 1969, 16mm, 180’, nb et coul., vostf filmé entre 1964 et1968, monté en 1968-1969  Walden est le premier des journaux de Jonas Mekas, rassemblés sous le titre générique Diaries, Notes & Sketches – le premier monté, même si Lost Lost Lost, achevé en 1976, montre la période précédente, de 1949 à 1963.  « Depuis 1950, je n’ai cessé de tenir mon journal filmé. Je me promenais avec ma Bolex en réagissant à la réalité immédiate : situations, amis, New York, saisons. […] Walden contient le matériel tourné de 1964 à 1968 monté dans l’ordre chronologique. La bande-son utilise les sons enregistrés à la même époque : voix, métro, bruits de rues, un peu de Chopin (je suis un romantique) et d’autres sons, significatifs ou non. »  Jonas Mekas  « Je n’ai pas disposé de ces longues plages de temps nécessaires à la préparation d’un scénario, puis au tournage, puis au montage, etc. Je n’ai eu que des bribes de temps qui ne m’ont permis de tourner que des bribes de film. Toute mon œuvre personnelle est devenue comme une série de notes. Je me disais : je vais faire tout ce que je peux aujourd’hui, parce que sinon je ne trouverai pas d’autre moment libre avant des semaines. Si je peux filmer une minute, je filme une minute. Si je peux filmer dix secondes, je filme dix secondes. Je prends ce que je peux, désespérément. Mais pendant longtemps, je n’ai pas visionné ce que je filmais et emmagasinais ainsi. Je me disais que tout ce que je faisais, c’était de l’entraînement. »  Jonas Mekas, 1972  « Walden de Jonas Mekas s’impose, près de trente ans plus tard, comme un document cinématographique essentiel de la vie artistique new-yorkaise à l’une de ses époques les plus grandioses. Sans jamais choquer ni se confesser, Mekas a imprégné chaque instant de ce très long film des nuances de sa personnalité. Parmi un vaste éventail de personnages, pour la plupart non nommés ou simplement appelés par leur prénom – bien que certains soient mondialement célèbres –, le seul portrait psychologique est celui du cinéaste lui-même : un poète lituanien exilé, fasciné et torturé par sa lente américanisation. Le film est dominé par un rythme staccato nerveux qui s’épanche régulièrement en grandes exaltations. En accumulant massivement des images, Mekas s’est constitué des archives uniques en leur genre pour assembler ce journal visuel, le premier d’une longue série. Aucun autre film ne restitue à ce point la sensation propre à ce temps et à ce lieu, telle qu’on peut la retrouver en regardant le film aujourd’hui. En tant que personnage secondaire apparaissant régulièrement devant la caméra de mon ami, je suis conscient combien sa représentation des autres reste fragmentaire et elliptique, et cependant ces images sont devenues pour moi les indices visuels les plus forts de la personne que j’étais il y a trente ans. Ceci est peut-être la clé de l’œuvre de Mekas : sa découverte d’une forme cinématographique laissant transparaître ses changements d’humeur, sans imposer un masque cohérent de lui-même. Il a ainsi construit une oeuvre qui laisse les autres apparaître dans leur ambiguïté phénoménale. »  P. Adams Sitney, 1996, Le Livre de Walden, éd. Paris Expérimental, 1997  « Disons que, cinématographiquement parlant, il n’y a peut-être rien de plus beau que les trois premiers plans de Walden : des arbres dans un parc bleuté par les reflets du soleil d’hiver, la neige et l’aube du printemps ; du temps, proustien ou haché en haïku, du temps qui tient dans la main, du souvenir partout. »  Philippe Azoury, « Vivace Jonas Mekas », Libération, 31 octobre 2000…
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